Monte Carlo day 2 : Premiers pas dans les coulisses

Chaque jour, Générique(s) vous livre ses impressions sur le Festival de la télévision de Monte Carlo, la journée passée, les interviews, l'ambiance et les petits détails qui font le sel des festivals...

Chaque jour, Générique(s) vous livre ses impressions en direct du Festival de télévision de Monte Carlo...

Lundi, c'est parti...

Premier jour au Festival de Monte Carlo. La météo annonçait pluies torrentielles et orages déchaînés, mais, heureusement, il n'en est rien. Les deux envoyés spéciaux de Générique(s) (et avec eux, accessoirement, le gotha audiovisuel mondial) ont débarqué sous un soleil de plomb. Bonne nouvelle - même si la plage attendra... Monaco est fidèle à sa légende : flics en chemisettes blanches immaculées à chaque coin de rue, palmiers en bord de mer, armée de caniches et schitzu en ordre de bataille... Le Grimaldi Forum (où se tiennent projos, conférences de presse et autres réjouissances) a sorti le tapis rouge et attend ses stars, prêt pour un remake miniature du Festival de Cannes. Entre les murs, à l'intérieur du Palais, se bousculent déjà quelques visages connus (comédiens des Bleus, de Fais pas ci fais pas ça), clopes au bec (de quoi se souvenir qu'on est pas en France), même si les "gros clients" ne sont pas encore là : on attend par exemple le casting de Lost de pied ferme...

Pour l'heure, donc, on refait les plannings à la dernière minute (Mark Harmon, l'homme du NCIS, vient d'annuler sa visite prévue de longue date), on prend la température grâce aux reporters habitués du festival (Dick "Law and Order" Wolf est-il un bon client, ou un redoutable tyran ? - les avis divergent), on jette un oeil sur une grosse production russe de prestige, The Junkers - son producteur Igor Chernitsky est-il le Jerry Bruckeimer moscovite ? Réponse sous peu...

Et puis on surprend à la volée, surtout, un vrai beau moment. 14h, Eric Close (FBI Portés Disparus), costard et charisme irréprochables, sort d'une limousine ordinaire, avant d'être accueilli par à peine une demi-douzaine de photographes et trois curieux. Le contraste avec la furia cannoise est saisissant. Contrepartie de la modestie de l'accueil : une jeune femme bondit sur le tapis rouge, se jette dans les bras du beau Eric, qui accepte l'étreinte avec malice et bonne humeur... Tiens, c'est marrant, mais a priori, on n'aurait pas parié sur Monaco pour offrir aux fans une occasion de briser les barrières de classe avec autant de facilité... Pour en savoir plus sur Close, rendez-vous demain en début d'après-midi. Notre interview de l'acteur sera alors en ligne...

Ce soir, le Festival offre aux curieux une projection publique, celle du téléfilm Say it in Russian. Pourtant, certains esprits semblent ailleurs. Il y a comme du foot dans l'air...

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